
[AP Awards] Top départ pour l’édition 2017
Comme chaque année, nous vous proposons de voter pour les Allez Paillade Awards avec neuf catégories et bien sûr l’élection du joueur de l’année. Nous vous incitons à justifier votre choix dans les commentaires. Bilan général en fin de semaine. Encore merci à tous de votre participation.
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Catégories
- Meilleur joueur
- Meilleur match
- Pire match de l’année
- Le fantôme de l’année
- La révélation de l’année
- La bonne nouvelle de la saison
- Le déception de la saison
- L’affaire de l’année
- Le plus beau but de l’année
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Ryad Boudebouz: Incontestablement le leader technique du club. Quand Boudebouz va, Montpellier va bien. Il a réalisé personnellement sa meilleure saison en professionnel avec un nombre de buts en net progression, ce qui était son objectif annoncé. Malheureusement, il souffre encore d’un manque de régularité qui le fait passer à travers de certaines rencontres. Mais il reste réellement capable sur un seul geste, un seul coup de pied arrêté d’illuminer une rencontre comme contre Angers, lors de la première journée.
Steve Mounié: C’est la révélation sur le front de l’attaque et la grosse découverte de Frédéric Hantz qui a décidé de lui faire confiance dès la préparation estivale. Malgré un printemps poussif, la première saison pleine de Steve Mounié est une réussite. Il a atteint et dépassé son objectif personnel de 10 buts, démontré une grande implication dans le jeu, en particulier dans les duels aériens où il excelle. Une très belle surprise pour un joueur qui a marqué les esprits en Ligue 1 et peut-être à l’étranger.
Laurent Pionnier: Voilà la seconde saison de rang où Laurent Pionnier démarre sur le banc et finit comme un titulaire en puissance avec une grosse vingtaine de rencontres disputées. Pionnier a su palier la méforme de Jourdren à l’automne, acceptant de retourner sur le banc à l’arrivée de Gasset avant de retrouver les buts pour finir la saison. Le Gardois assez régulier n’est pas le meilleur gardien de l’élite, c’est une évidence, mais il a su être décisif dans les matchs cruciaux (contre Paris par exemple à la Mosson, à Caen, ou contre Lorient). Et être décisif dans un contexte aussi particulier concernant les gardiens et lors d’une saison aussi moisie est déjà une grande performance pour l’un des tauliers du vestiaire.
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MHSC-PSG (3-0): Sans nul doute, la plus belle surprise de la saison. Les Pailladins par l’intermédiaire d’un immense Laurent Pionnier font bloc pendant une demi-heure avant de faire la différence sur leur première micro-occasion. Une seconde mi-temps de rêve avec un but splendide de Skhiri et une chevauchée fantastique de Boudebouz et la victoire symbole d’une équipe capable de faire des grandes choses.
MHSC-OM (3-1): Vendredi 4 novembre. Le MHSC réalise son premier grand match de la saison. Dans une position délicate au classement, les Pailladins font tomber pour la première fois, l’OM de Rudi Garcia en Ligue 1. Une rencontre qui se déroule comme dans un rêve avec un doublé de Boudebouz pour débuter avant de concéder la réduction de l’écart. Mais le troisième but de Mounié sur un service parfait de Morgan Sanson permet aux Montpelliérains de s’envoler et de décrocher une victoire en toute logique contre le voisin olympien.
MHSC-Bordeaux (4-0): Troisième belle écurie qui a chuté à la Mosson cette saison et plus large victoire à domicile. (4-0) pour une rencontre pliée en moins de vingt minutes. Une frappe à ras de terre de Lasne, un but de Sessegnon et Montpellier finit la première période en supériorité numérique après l’expulsion du philosophe Menez. Un succès parachevé en fin de match par un but de Mounié et une réalisation en force de Sylla. (4-0) contre Bordeaux et la première fois dans l’histoire du club que le MHSC passe 4 buts aux Girondins.
Nancy-MHSC (0-3): C’est la rencontre à ne pas perdre et les Montpelliérains vont mettre l’attaquer par le bon bout. Deux buts en moins de 20 minutes, le second de la tête par Mounié qui conclut une splendide action collective. Montpellier survole les débats sur un terrain qui rarement lui avait autant souri. Un doublé en seconde période pour Mbenza qui d’un missile sous la barre parachève une rencontre aboutie pendant 90 minutes.
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Des rencontres qui symbolisent toutes les carences mentales et défensives de la saison. Des matchs souvent pliés en moins d’un quart d’heure par deux grosses erreurs derrière et un calvaire pour les supporters qui essaient quand même de regarder jusqu’au bout sans le moindre espoir des matchs catastrophiques et indignes. Avec aussi la rencontre contre Toulouse à la Mosson pour ce qui aurait du être une fête et qui s’est transformé là aussi en un terrible fiasco.
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Anthony Vanden Borre: Le Belge devait relancer sa carrière dans l’Hérault. Ce fut un bide retentissant. Complètement dépassé physiquement, le Belge a quelques beaux restes techniquement, largement insuffisant pour devenir un titulaire en puissance. L’un des deux paris du recrutement estival (avec Sylla) se solde par un énorme camouflé. Le joueur parti en Belgique durant les fêtes de Noël ne reviendra jamais en France et préfère rompre son contrat plutôt que de rester six mois de plus dans l’Hérault. Annonçant qu’il veut arrêter le foot, avant de rebondir en Afrique du Sud.
Cédric Mongongu: C’est ce qu’on appelle un recrutement fait dans l’urgence pour calmer l’ire présidentielle. Après l’épisode des grosses bites de la cellule de recrutement incapable de trouver un défenseur central pour préparer l’après-Hilton, le MHSC prend à l’arrache Cédric Mongongu. L’ancien joueur de l’ETG est arrivé en surpoids et n’a visiblement pas le niveau Ligue 1. Jamais utilisé ou presque par Hantz qui n’en voulait pas, Mongongu croupit en équipe réserve. Une équipe réserve qu’il n’aime pas fréquenter si on s’en tient à un récent article de L’Equipe.
William Rémy: 15 apparitions en Ligue 1 cette saison pour 8 titularisations, William Rémy n’a jamais réussi à s’imposer à Montpellier depuis 2 saisons. Et cette année alors que Congré était blessé ou transparent, qu’Hilton était beaucoup moins serein, il n’a jamais réussi à franchir le cap nécessaire pour mériter une place de titulaire en Ligue 1. N’ayant disputé aucune minute en pro depuis la défaite à Marseille, Rémy a disparu depuis avec simplement quelques apparitions dans le groupe. Il aurait refusé d’évoluer en CFA.
Geoffrey Jourdren: La saison de Geoffrey Jourdren s’est arrêtée un soir d’automne après une suite de rencontres catastrophiques (Dijon, Monaco, Caen). Il a décidé de se mettre en retrait de lui-même, permettant à l’équipe de retrouver un peu d’assise dans les buts grâce à l’intérim assez bien réussi de Laurent Pionnier. Blessé plus ou moins diplomatiquement il est réapparu sur les terrains dès le début de l’ère Gasset. Mais ces performances toujours aussi inquiétantes l’ont rapidement repoussé sur le banc de touche ou sur l’infirmerie avec souvent des blessures de dernière minute expliquant son absence du groupe pro. Vivant très mal cette mise à l’écart, Jourdren est quand même de retour sur les feuilles de match au printemps. Numéro un depuis la remontée en Ligue 1, il ne devrait pas s’éterniser au club cette année.
Keagan Dolly: Certes, l’adaptation à un nouveau continent est légitime pour un Anglophone débarquant d’Afrique du Sud. Mais au bout de quatre mois de présence à Montpellier, Keagan Dolly reste une énigme à part entière. Souvent positionné sur un côté, Dolly semble à l’aise techniquement mais manque de vitesse. Sera-t-il finalement le véritable remplaçant de Ryad Boudebouz la saison prochaine dans un rôle plus axial? Espérons simplement qu’après une préparation aboutie et mis en confiance par un nouvel entraîneur, il prenne enfin son envol.
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Nordi Mukiele: De loin la meilleure recrue hivernale. Le MHSC a retrouvé un arrière droit, un vrai qui attaque et qui défend. Plutôt régulier, malgré quelques sautes de concentration au marquage, Mukiele a démontré qu’il avait largement le niveau Ligue 1. Il devrait susciter bon nombre de convoitises cet été.
Nicolas Saint Ruf: Personne ne pensait qu’il avait le niveau professionnel. Mais devant la cascade de blessures, Fredéric Hantz a été dans l’obligation de titulariser en dernier recours Nicolas Saint Ruf. Des prestations peut-être pas emballantes, mais au moins solides qui ont permis au joueur de montrer qu’il avait un niveau se rapprochant de Ligue 1. Parti en janvier à Bastia, il a été titularisé à trois reprises se remarquant surtout par deux cartons rouges.
Steve Mounié: Révélation aussi, parce que pas grand monde ne pensait qu’il serait capable d’être l’avant-centre numéro un.
Jonathan Ikoné: 18 ans et aucun complexe. Ikoné a démontré énormément de qualités malgré un souci évident de finition. Le Parisien se signale dès son arrivée par une passe décisive importantissime contre Bastia pour Mounié. Très percutant, il a souvent destabilisé les défenses et réalisé des rentrées décisives comme à Caen, avec son unique but. Un joueur à conserver et à continuer encore à faire progresser.
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La communication envers les supporters: Jamais le club n’avait autant mis le paquet sur les supporters. Pour contrecarrer les paroles des présidents qui se plaignent souvent du manque d’engouement autour du MHSC, le club a mis les moyens pour attirer du monde et conserver les plus fidèles. Comme en témoignent les nouvelles politiques tarifaires d’abonnement pour la saison prochaine, mais aussi les offres promotionnelles du match contre Toulouse ou contre Lyon. L’arrivée d’une mascotte, le soutien affiché envers les associations de supporters (la Butte pouvant faire ce qu’elle veut pour ses 25 ans), la prise en compte beaucoup plus marquée de toutes les initiatives sur les réseaux sociaux (que ce soit notre site, ou toutes les pages ou différents comptes) démontrent que le club a compris l’urgence à garder ses supporters. Sans eux, impossible d’imaginer la transition plus ou moins longue avec le nouveau stade, alors que le club a annoncé des saisons de transition jusqu’à son inauguration.
La seconde place des féminines: Remportant l’ensemble des rencontres à leur portée, les filles du MHSC ont su cette saison tenir la dragée haute au PSG pour terminer à la seconde place du classement et se qualifier pour la prochaine Ligue des Champions. Une excellente nouvelle pour la section féminine qui a su relever la tête après la blessure de Sofia Jakobsson leader technique offensif de l’équipe, pour décrocher ce précieux sésame. Le trophée du meilleur espoir féminin de Division 1 attribué à Sakina Karchaoui témoigne de la qualité de l’effectif héraultais et du travail effectué par Jean-Louis Saez.
La finale de la Gambardella: C’est la promesse peut-être d’un avenir plus radieux avec enfin une génération complète et talentueuse qui pointe le bout de son nez. Car si on occulte Skhiri et Mounié, le MHSC n’a sorti aucun joueur pro niveau Ligue 1 depuis la génération Belhanda. Le parcours de la Gambardella a été scruté avec intérêt par une partie des supporters. Une véritable bouffée d’oxygène en comparaison avec les résultats chaotiques du groupe pro.
Le recrutement du mercato hivernal: Après un recrutement estival totalement raté, le club a investi immédiatement la manne du transfert de Morgan Sanson. Cinq arrivées cet hiver et quatre joueurs régulièrement titulaires pour une inconnue. Un défenseur central visé depuis un moment, un latéral droit, deux attaquants et un milieu offensif assez transparent. Les recrues de janvier jouant un rôle prépondérant dans le maintien du MHSC. La preuve que la cellule de recrutement n’est pas si mauvaise que ça, quand on lui donne certaines libertés financières.
La mission de Jean-Louis Gasset: Amoindri pour des raisons que tout le monde connaît, Jean-Louis Gasset n’a pas longtemps hésité à reprendre le flambeau et venir donner un coup de main à la famille Nicollin. La mission du maintien a été réussie malgré un parcours très déstabilisant pour les supporters et une série de non-matchs à la Mosson (Guingamp, Toulouse, Lille). Bien aidé par le recrutement de janvier, Gasset a fait ce qu’on lui demandait. Sans jamais s’inscrire faussement dans un avenir à moyens termes avec les dirigeants. Ce qui a permis d’ailleurs de chercher rapidement un nouvel entraîneur.
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Les communications présidentielles: C’est une saison catastrophique à ce niveau de bout en bout. Tout commence par la déclaration sur l’habituel gouffre à combler fin mai 2016 et la non-volonté de construire une équipe compétitive puisque de moins en moins de supporters viennent au stade. Le serpent qui se mort la queue depuis 2013 et Louis Nicollin qui se met à dos une majorité de supporters. La saison a été jalonnée de ses habituelles saillies sans aucun filtre. Contre la cellule de recrutement à l’automne, puis contre Frédéric Hantz en janvier. Un président qui prend du recul puisqu’il n’est même pas capable de citer le nom de Mukiele dans le Club Sers mais qui veut toujours garder le cap. Tout en donnant le manche à son fils et en le critiquant dans la presse par la suite.
De l’autre Laurent, qui fait avec les moyens du bord, qui avale les couleuvres à longueur de semaines, et qui a du mal à prendre les bonnes décisions au bon moment sous la menace du père. Il aura fallu attendre trois semaines de psychodrame dans les médias en janvier et des défaites à Metz et Marseille pour se séparer définitivement de Hantz. Un entraîneur qu’il n’appréciait pas puisque c’était le choix de son père et pas le sien. Au final un club scindé en deux entre les amis du père et les amis du fils qui tangue depuis trois ans. Avec on l’espère une remise en cause collective qui a démarré par la conférence de presse d’avant-match contre Lyon avec pour la première fois, une sorte de mea-culpa de la part du président délégué.
La relégation de la CFA: Quand l’équipe première va mal, en général, l’équipe réserve trinque. Mais la relégation de la réserve confirme surtout le grand trou générationnel que connaît notre club au niveau de la formation. Un trou que peut-être la nouvelle génération Gambardella comblera.
L’état d’esprit du groupe pro: Comment peut-on battre Paris, Marseille, Saint Etienne et Bordeaux à la Mosson et perdre deux fois contre Metz, se faire humilier (3-0) par Lille dans son propre stade et n’arriver à se maintenir que grâce aux mauvais résultats des relégables? La réponse vient de l’état d’esprit d’un groupe incapable d’aligner deux performances du même tonneau d’une semaine à l’autre. Avec des joueurs comme Lasne, Skhiri ou Roussillon capables de tout défoncer et d’être transparents. Les entraîneurs ont évoqué la jeunesse du groupe pour expliquer son irrégularité. On peut imaginer aussi que les cadres étant moins présents sur le terrain, leur impact sur le vestiaire est largement moins important auprès des jeunes joueurs. Hantz et Gasset ont passé la saison à s’arracher les cheveux. Der Zakarian déjà atteint de calvitie se rongera les ongles pour ne pas perdre patience.
Les supporters en tout cas ont passé l’année à essayer en vain de regarder des matchs catastrophiques en déplacement avec des rencontres pliées en moins de vingt minutes (Metz, Marseille, Lyon, Nantes,…) A attendre une réaction d’orgueil qui ne viendra que le mois suivant. Un état d’esprit défaillant qu’il faudra changer.
Le niveau des cadres historiques: Camara, Marveaux, Hilton, Jourdren. Tant de joueurs qui ont eu leur rôle dans le titre de 2012 et qui ont eu connu une saison beaucoup moins rose. Camara n’a plus ses jambes de 25 ans et n’est même plus ce super remplaçant capable de débloquer les rencontres. Hilton est beaucoup moins régulier, restant pourtant le patron de la défense et le seul capable de bonifier un autre partenaire (Pokorny ou Congré) à ses côtés. Marveaux a vécu lui une année perturbée par les blessures mais n’a quasiment plus sa place dans le groupe pro. Jourdren lui reste une énigme difficilement sondable.
Le recrutement estival: C’est la source de tous les problèmes de la saison: l’absence ou presque de recrutement à l’été. Hantz voulait un latéral droit et un milieu défensif. Le club lui trouve Vanden Borre, joueur en pré-retraite dépressif et Yacouba Sylla en prêt, remplaçant à Rennes de son état. Il demande en troisième choix un milieu offensif et obtient au forceps à l’automne Stéphane Sessegnon qui a réalisé au final une saison assez moyenne. Le club avait émis le souhait de dégraisser l’effectif et de séparer des Wutrich, Gissi, Bakar, Saihi… Mais derrière, les renforts ont été inexistants. Avec des situations ubuesques comme contre Caen et une charnière Saint Ruf – Skhiri contre Caen pour pallier les blessures et les suspensions. Une absence de véritable recrutement qui doit servir de leçon pour le prochain exercice.
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Les grosses bites du recrutement: Première grosse secousse de l’année avec une sortie de Louis Nicollin à l’encontre de Bruno Carotti et de la cellule de recrutement. Ces insultes publiques mettront le feu en interne avec le recrutement de Mongongu en urgence. Une preuve de plus des disfonctionnements en interne avec d’un côté la volonté de ne pas dépenser un kopeck mais de l’autre des critiques acerbes à l’encontre des proches du fils.
Le départ de Hantz: Des éliminations assez honteuses en Coupe de France et en Coupe de la Ligue et Louis Nicollin sort de ses gonds en taillant Hantz en pièces et en menaçant de le virer. Grosse colère médiatique qui déclenche trois semaines de psychodrame entraînant le départ de l’Aveyronnais. Et si le courroux présidentiel est compréhensible à l’encontre d’un groupe peu motivé et d’un entraîneur pas toujours inspiré, là aussi le mode de communication choque. Un enguelo entre quatre yeux à Grammont étant beaucoup plus bénéfique que cette partie de ping-pong médiatique à laquelle nous avons assisté au mois de janvier. Avec le fils pris en sandwich entre son père et un entraîneur qui s’est senti offensé.
Le clash Jourdren – Tolisso: C’est l’image la plus drôle de l’année. Tolisso, provocateur et truqueur fait expulser Poaty après un tacle appuyé mais loin d’être destructeur. Et Geoffrey Jourdren qui ne supporte pas les injustices vient à la mi-temps devant les micros de BeIN qui interrogent Tolisso demander des comptes au Lyonnais et vient lui demander s’il n’est pas blessé. Une scène surréaliste assez rafraîchissante qui masquera presque la déroute et les cinq buts encaissés après une expulsion honteuse et un penalty imaginaire.
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