Théo Sainte-Luce : « Je suis à 100% »

En conférence de presse, Théo Sainte-Luce se voulait très rassurant quant à son état de santé. Embêté par des pépins musculaires au sortir de sa convalescence suite à sa blessure au genou, le latéral gauche se sent désormais en pleine possession de ses moyens.

« Je me sens bien. Je suis revenu à 100%. Je n’ai jamais été aussi bien depuis la saison passée. Aujourd’hui, que ce soit pour moi ou mes proches, j’aimerais qu’on arrête de parler de tous ces pépins et de tout ce qui s’est passé auparavant. (…) Ça a été compliqué, je ne vais pas mentir, mais cela fait partie de la vie d’un footballeur, il ne faut pas se cacher ces choses. Oui, cela a été compliqué. Mais c’était surtout l’accumulation de petits pépins ensuite qui a fait que c’était compliqué. Mais sinon, ça va, cela s’est relativement bien passé. Aujourd’hui, je suis sur le terrain, il y a un an, je ne pensais qu’à ces moments-là. Donc je profite au maximum et j’essaie de prendre le plus de plaisir possible. (…)

Peut-être avais-je repris trop tôt. Après, physiquement, avant de reprendre après les croisés, on avait fait pas mal de tests avant de reprendre l’entraînement et j’avais tout validé. Que ce soit les tests de sauts ou musculairement, j’étais bien équilibré. Mais c’est certain que reprendre les entraînements et reprendre une charge de travail type Ligue 1, après une longue convalescence, il faut que le corps se réadapte. Peut-être que c’était trop tôt, ça, on ne le saura jamais. Il y a eu des pépins musculaires, mais ce sont des choses qui arrivent après ce genre de blessure. (…)

Non, mon aventure ne démarre pas aujourd’hui. Quand je suis arrivé au club, je pense qu’on ne m’attendait pas forcément d’entrée. Et l’aventure a démarré là, car j’étais impliqué dans le projet et moi-même, j’étais impliqué. J’ai plus la sensation que ça redémarre, que ça repart et que ça repart bien. C’est ce que j’attendais, c’est le genre de choses auxquelles on pense en convalescence. On attend juste le moment où notre travail va payer et aujourd’hui, je pense que je suis en plein dedans. Il me faut continuer à travailler pour que cela perdure le plus longtemps possible.«