Et oui, ça sentait l’enflammade
Et oui, nous l’avions malheureusement remarqué dans notre revue de presse matinale. Mais cette soirée sentait le piège à plein nez. Les grands titres laudateurs, les victoires promises par France Bleu ou le Midi Libre avec des Rennais qui ne s’imposent jamais ou presque à la Mosson. Et demain que lirons-nous dans le même journal ? Que le journaliste avait bien senti une déconcentration, que les Pailladins se sont vus trop beaux ? En tout cas et nous n’avons aucune fierté à le dire, mais on avait bien senti le piège énorme. Le match le plus dur à gagner était bien celui de Rennes. Nous avions souffert contre Strasbourg et Nantes, et nous avions compris que contre Rennes, il en serait de même. Les Pailladins et leur défense à cinq sont désormais attendus. Il faudra à Der Zakarian plus de créativité pour venir à bout des blocs regroupés à la Mosson.
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