Allianz Riviera, la fin de la malédiction

Comme au Parc OL l’an dernier, les Pailladins viennent enfin de s’imposer dans un stade où ils n’y étaient jamais parvenus de leur histoire. Un nul et cinq défaites depuis 2014, en ajoutant à cette statistique l’absence de Téji Savanier et la dynamique niçoise du moment, les conditions n’étaient pas vraiment annonciatrices d’une première victoire en ce terrain jusqu’alors maudit.

Ceci fait, on doit maintenant attendre au minimum la saison prochaine pour partir à la conquête de l’un des derniers stades neufs (si ce n’est le dernier) qui résistent encore et toujours à l’envahisseur pailladin : le stade Pierre Mauroy, forteresse du LOSC depuis 2012, où l’on a déjà livré bataille encore sans succès au mois d’août de l’exercice en cours. À moins que le tirage au sort de la Coupe de France ne sonne la mobilisation plus tôt que prévu.