
Hantz se confie sur son passage au MHSC
Auprès du Midi Libre, Frédéric Hantz est revenu sur son passage à Montpellier.
Il regrette de ne pas avoir eu les moyens nécessaires :
“J’espérais qu’on me donnerait les moyens de viser l’Europe. C’est le contraire qui est arrivé. Regardez la balance des transferts !”
Malgré les propos qu’avaient pu tenir Louis Nicollin à son égard dans le Club Sers, d’autres personnes lui ont fait plus de mal :
“Ce qui est sûr c’est que Louis Nicollin, dont je salue la mémoire, n’est pas celui qui m’a fait le plus mal. Il y aurait tellement de choses à dire, à raconter que les gens ne savent pas.” “Mon licenciement est intervenu après un mois de janvier très difficile à l’intérieur du club.” “Montpellier est un grand club que je n’ai pas envie d’écorner. Je préfère communiquer sur le positif.”
Il juge que faire partie de la famille “Paillade” facilite les relations :
“Je connaissais les influences : Michel Mézy et Louis Nicollin d’un côté ; Bruno Carotti et Laurent Nicollin de l’autre. J’ai fait des choix qui n’ont pas toujours été suivis. Le silence a fini par prendre la place du dialogue. À Montpellier, il y a beaucoup d’attentes, surtout relationnelles. Au-delà des moyens et des joueurs, il y a ce que vous donnez et ce que l’on vous donne. J’aurais peut-être pu durer un peu plus longtemps. Mais je suis un entraîneur de convictions. Michel (Der Zakarian), tout le monde l’attendait à Montpellier.”
Par rapport à la rencontre de samedi :
“Metz a pris un mauvais départ. Après mon arrivée, il n’y a pas eu de rebond. Et plus de la moitié de l’effectif est à l’infirmerie. En face, il y a Montpellier, peut-être la meilleure équipe de France à l’heure actuelle. Le rapport de forces semble inégal mais on ne choisit pas notre calendrier.”
Retrouvez l’interview dans son intégralité en cliquant ici.
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