
L’absence de Fekir a pesé
Ses propres coéquipiers l’ont admis devant les micros: l’absence de leur capitaine leur a été préjudiciable. Les Lyonnais ont eu en effet toutes les peines à contourner le bloc montpelliérain. Ils ne se sont créé que trois occasions nettes en première période, et encore: il a fallu pour cela deux pertes de balles de Hilton puis Mendes à la suite desquelles Mariano et Depay manquent le cadre. Cornet échouant ensuite sur Lecomte qui réalise l’arrêt décisif en resserrant les jambes. Et enfin une seconde période sans situation franche, les attaquants de Génésio étant trop isolés, incapables d’accélérer et réduits à tenter leur chance de loin ou à jouer pratiquement dos au but ou arrêtés. Ce qui ne remet pas en cause la combativité et la discipline de notre équipe qui a parfaitement enrayé les tentatives de mouvements adverses, dans le jeu long comme le jeu court. Mais cet après-midi, cet OL-là n’était clairement pas le même que celui qui avait inscrit 18 buts sur les cinq dernières journées.
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